Nieuwsbrief

Voor U Anders gelezen/geschreven

DM: Benjamin Franklin drukte het uit als volgt: "Those who would give up essential Liberty, to purchase a little temporary Safety, deserve neither Liberty nor Safety".
Het antwoord op de vraag hoeveel vrijheid we moeten opgeven om vrij te zijn, zal uitwijzen of we kiezen voor een wereld zonder privacy. Wie daarvoor kiest, geeft de voorkeur aan een overheid die allesomvattend is. Een overheid die alles ziet en weet. Een overheid die vertrekt vanuit een groot wantrouwen tegenover de burger. Terwijl vrijheidsdenkers geloven in de goedheid van de mens.

Communautair dossier

Helft Walen voor aanhechting bij Frankrijk
Volgens een peiling van Ipsos staat 49 procent van de Walen "welgezind" tegenover een aanhechting bij Frankrijk indien België zou ophouden te bestaan. Eenendertig procent is "eerder welgezind", 18 procent is een aanhechting "helemaal welgezind" ("tout à fait favorables"). Volgens de peiling van Ipsos is 60 procent van de Fransen voorstander van een aanhechting van Wallonië. Drieëntwintig procent van de Walen denkt dat België zal verdwijnen, 59 procent denkt het tegenovergestelde. Een overgrote meerderheid van de Walen schat de politieke crisis zwaar in (93 procent) waarvan 49 procent de crisis "heel zwaar" vindt. (belga/tdb)
FR L'Exprès: een lezer reageert :"C'est bizarre ces wallons qui veulent se rattacher à la France. Et puis cette manie que nous avons de récupérer toutes les "roues crevées". Car enfin il faut le dire franchement pourquoi les flamands ont ils depuis maintenant très longtemps une dent contre les wallons, hé bien tout simplement parce qu'ils en ont marre de payer pour une province qui est devenue un suce roue de la Flandre qui tient la Belgique à bout de bras . Et nous, une majorité les verrait bien être français. moi je préférerai que les suisses, les norvégiens, et quels autres particulièrement performants veuillent devenir français,mais les wallons certainement pas. On a déjà assez de problèmes avec quelques millions des nôtres sans y ajouter les wallons."

LS ; LUC DELFOSSE mardi 29 juillet 2008,
Wallons, je vous ai compris !
La Belgique, il ne faut pas y toucher. (…) Ou alors, il faudrait que les Flamands rendent la vie impossible aux Wallons, et qu'alors les Wallons se jettent dans nos bras. »
Ainsi parlait Charles de Gaulle à l'automne 1965 (1). Et si, quarante-trois ans plus tard, cet « alors » évoqué par « mon général » ne relevait plus du fantasme politique ?
Le grand bond rattachiste révélé par le sondage saute-frontière Le Soir - La Voix du Nord pourrait le laisser augurer. Car enfin, les chiffres sont stupéfiants : en un an – sous l'épouvantable ère Leterme… – l'idée d'un arrimage à la France a progressé de 20 points dans l'opinion sudiste ! Dès lors, il se trouve un Wallon sur deux pour envisager calmement ce scénario-refuge en cas d'implosion belgo-belge.
Dans le même temps – divine surprise après des décennies de mépris hexagonal –, 60 % des Français se disent désormais favorables à accueillir les provinces wallonnes dans le giron républicain.
« Allons enfants… », comme aime à le chanter l'homme qui fait chez nous office de Premier ministre ? Oh ! avant de se rattacher, il conviendrait d'abord de… se détacher, comme eût « lapalicé » un autre Français célèbre. Or la… partition est loin d'être jouée. Et un référendum, pure utopie.
Car, à Paris, Rome, Londres ou Madrid, les chancelleries voient d'abord midi à leur porte et mesurent l'effet d'entraînement que la partition belge pourrait induire au sein de l'Union rongée par ses particularismes.
On lira donc ce sondage comme une machine à mesurer l'extraordinaire progression des mentalités francophones dans ce (toujours) pays.
Mais aussi comme un avertissement solennel aux hommes politiques flamands qui entendent nous faire danser comme ils sifflent, au prétexte de la loi du nombre et de leur insolente santé économique.
Attention : si la Belgique tient encore, les tabous, eux, ont bel et bien sauté. Ni les Wallons ni même, on le sent, les Bruxellois n'envisagent qu'on leur rende la vie plus « impossible » encore.

DM De nota-Bonte (SP.A, Vilvoorde) in zeven standpunten
1. De federale en regionale verkiezingen moeten opnieuw samenvallen, om de bestuurskracht van de verschillende niveau's te doen toenemen.2. De provinciale kieskringen moeten gebetonneerd worden en dus moet B-H-V gesplitst worden. Een federale kieskring kan niet.3. Het Brussels Hoofdstedelijk Gewest moet omgevormd worden tot een bicommunautair Hoofdstedelijk District, waarbij de autonomie van de gemeenten op belangrijke punten beknot wordt en de financiële middelen afhankelijk gemaakt worden van vooruitgang op het terrein van onder meer mobiliteit en veiligheid.4. Een aantal regionale bevoegdheden moeten opnieuw naar het federale niveau verhuizen, onder meer lawaainormen maar ook milieubevoegdheden zoals emissienormen. "Europa komt op dat vlak steeds meer met afdwingbare normen. Het is absurd dat die telkens door alle parlementen moeten passeren", zegt Bonte.5. De tweetaligheid moet gestimuleerd worden door in de grondwet in te schrijven dat de onderwijsprogramma's voldoende lessen in de andere landstaal moeten voorzien. Inspanningen in die richting kunnen ook financieel beloond worden.6. De arbeidsmarkt moet verregaand gesplitst worden, met responsabilisering van de gewesten, maar met behoud van de solidariteit. 7. De opkomstplicht bij verkiezingen moet behouden blijven.

LLB: P De Schoutheete – gewezen ambassadeur
En premier lieu, il faut bien se convaincre que le concept d'un "Etat confédéral" est vide de sens pour les juristes. Il existe des Etats fédéraux, et il a existé (généralement de manière précaire) des confédérations d'Etats, mais il ne peut pas exister "un" Etat confédéral parce que la définition même de la confédération est que la souveraineté y est plurielle, partagée entre les Etats confédérés. Il y a donc une confédération et des Etats confédérés. Les Allemands, qui, plus que d'autres, ont approfondi ces concepts, parlent de Bundesstaat, au singulier (c'est l'Etat fédéral), et de Staatenbund, au pluriel (c'est la confédération d'Etats). Il n'y a pas, dans ce domaine, de compromis possible puisqu'il faudra toujours qu'un mot soit au singulier ou au pluriel, comme il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée. Même les Belges n'ont pas trouvé de compromis sur ce point !
On peut certes inscrire des dispositions d'inspiration confédérale dans la structure fédérale de l'Etat : il y en a déjà. On peut aussi remplacer l'Etat fédéral par une confédération d'Etats. Mais, ni dans un cas ni dans l'autre, il ne s'agira d'un Etat confédéral. Et il est quand même important de savoir si, au bout du compte, il y aura un Etat (fédéral) ou des Etats (confédérés).
Dans le même esprit, il n'est pas possible d'établir une confédération de ce type par un dialogue de communauté à communauté. Dans le monde contemporain, toute souveraineté étatique repose sur une base territoriale. Or, la Région est une collectivité territoriale alors que la Communauté est une collectivité de personnes
Ceci conduit à un débat à trois, qui déplaît en Flandre. Mais comment nier que la Région de Bruxelles est une collectivité territoriale, reconnue par la Constitution, reconnue par l'Union européenne dont elle constitue la capitale ? Comment l'exclure de l'exercice de "refondation" auquel on souhaite se livrer ? Hij heeft de Belgische versie van confederalisme nog niet door !

Ga eens een kijkje nemen op de webstek http://pourquoipas.lalibreblogs.be/ Over Vlaamse werklozen in Wallonië. Zelfs wanneer de Walen zichzelf schuldig vinden dan nog sluit men het artikel af met de veelzeggende tekst: “un coup dans l'eau et une bien mauvaise publicité pour ceux qui, cherchant le sensationnalisme à tout prix, se sont montrés à la hauteur de bourgmestres flamingants intolérants et bornés... »

Ce qui me dépasse c’est que des francophones « bruxellois » dans la périphérie, (1,5 % de Belges, si le chiffre de 150.000, que je vois régulièrement passer est exact) sont prêts à enfoncer les Wallons (40% des Belges) dans un marasme encore plus profond que dans lequel ils se trouvent, simplement parce que les premiers ne veulent pas accepter que le néerlandais est la langue administrative en Flandre. Une poigné de fanatiques qui n’ont que du mépris pour le néerlandais et qui se soucient plus de la langue sur leur carte d’identité que du bien être de leurs compatriotes wallons qu’ils disent tant aimer. Qu’est-ce que ce beauf’ de Wemmel peut gueuler de plus, sur une terrasse à Juan-les-Pins, à part que lui au moins a une carte d’identité en français et que le Roi est francophone ?

Binnenland

HBL,
E Donckier commentaarstuk:"Eén Waal op drie is dus een Vlaming. Ongelooflijk"
Volgens cijfers van de Vlaamse Confederatie van Immobiliënberoepen trokken in 2006 maar liefst 250.000 Vlamingen de taalgrens over. Aangelokt door goedkope bouwgronden en betaalbare woningen. In totaal zouden er naar schatting al één miljoen Vlamingen geëmigreerd zijn naar Wallonië.

DM: Fiscus doet meer controles in Vlaanderen
Vlamingen en ondernemingen in Vlaanderen hebben meer kans op een belastingcontrole dan hun collega's in Wallonië of Brussel. Uit statistieken van de minister van Financiën, Didier Reynders (MR), blijkt dat de controlecentra in Vlaanderen meer ijver aan den dag leggen, zo schrijft De Tijd.De Vlaamse controlecentra hebben in 2006 bijna drie keer meer btw-dossiers behandeld dan hun Waalse collega's, terwijl er in Vlaanderen maar twee keer zoveel actieve btw-plichtigen zijn. Ook op het vlak van de personenbelasting hebben de Vlaamse controlecentra 2,5 keer meer dossiers behandeld dan hun Waalse evenknieën. Brusselse btw-plichtigen krijgen niet eens een tiende van het aantal controles te verduren. De regering-Leterme wil de scheeftrekkingen onderzoeken.Staatssecretaris Carl Devlies maakt nu werk van een "performantiemeting" die de werking van de sociale en fiscale inspecties tegen het licht houdt. De metingen zouden de controleurs moeten taxeren, nagaan of ze genoeg middelen ter beschikking krijgen, de manier van werken bekijken, en ook de output en de effecten van de controles. De centrale vraag is of alle ondernemingen en burgers in ons land op gelijke voet worden behandeld. De eerste resultaten van de meting worden verwacht in 2009. (belga/tdb)


Buitenland

AFP: Kroatië werkt terugkeer Servische vluchtelingen nog altijd tegen.
Servische vluchtelingen in Kroatië hebben maandag in Banja Luka de slachtoffers herdacht van de Kroatische militaire operatie uit 1995 die een einde maakte aan de oorlog in het land, maar waarbij achteraf duizenden Servische burgers werden omgebracht en
honderdduizenden anderen op de vlucht sloegen. Met "Operatie Storm" heroverde Kroatië tussen 4 en 7 augustus 1995 de "Republiek Krajina" die door het Joegoslavisch Volksleger en Servische strijdgroepen sinds 1991 bezet werden gehouden. Binnen enkele dagen was het gebied veroverd en werden meer dan 200.000 Serviërs verdreven. De operatie was voor Kroatië een groot militair succes en leidde tot het einde van de oorlog in Kroatië. De Kroatische strijdkrachten begonnen een terreurcampagne om achtergebleven Serviërs alsnog weg te krijgen, met moorden, brandstichting, plundering en bedreiging. Honderden Krajina-Serviërs werden vermoord. Meer dan 200 mensen woonden de ceremonie in de hoofdstad van de Bosnische Serviërs bij.
Dinsdag viert Kroatië dezelfde operatie als de "Dag van de Overwinning". Sinds maart dit jaar staan voor het VN-tribunaal in Den Haag drie voormalige Kroatische militaire leiders terecht. Generaal Ante Gotovina, kolonel Ivan Cermak en kolonel Mladen Markac zijn volgens de aanklacht verantwoordelijk voor de grootste etnische zuivering onder Kroatische Serviërs tijdens de Kroatische oorlog (1992-1995). Volgens de VN zijn ondertussen 130.000 van gevluchte Serviërs teruggekeerd naar Kroatië.

Mop van de week

Een chique madame rijdt met haar dure wagen naar een boerderij, want ze heeft 25 kg patatten nodig. De boer vraagt nogal nors: 'Mannelijke of vrouwelijke patatten, madammeke?''Hoe mannelijke of vrouwelijke?' reageert de dame verbaasd.'Ja madam, is 't nog voor vandaag? 'k Heb heel veel werk zenne! Mannelijke of vrouwelijke?'De dame, geheel uit haar lood geslagen : 'Awel, geef mij maar ne keer vrouwelijke!'De boer gaat naar de stal, komt terug met een zak aardappelen en giet die leeg in de pas schoongemaakte koffer van de wagen.'Awel, wat doede gij nu? Waarom giet ge dat zo los in de koffer? ', sakkert de dame geërgerd.'Luister madammeke, g'hebt vrouwelijke patatten gevraagd hé, awel da zijn er zonder zak!'

Tot ziens,Pjotr