Nieuwsbrief

Voor U Anders gelezen/geschreven

Enkele lezers reageerden op het toegezonden verslag van de commissie Adriaenssens:
In het laatste nummer (nr. 584 - 9 september 2010) van het Journaal herinnert Mark Grammens een volle bladzijde lang, aan de hand van een reeks gepubliceerde citaten, aan de Elio di Rupo-story (1996). Geen haan , zeker geen "links-progressieve", die erover kraaide of nog kraait. Die haan is letterlijk te nemen, want het zou J.-L. Dehaene zijn geweest, die het in de "doofpot" (procureur André Van Oudenhove) stak om zijn regering overeind te houden.
Vanzelfsprekend is dit geen argument voor onze Kerk. Toch wekt het bedenkingen over wie wel en wie niet in onze samenleving aan de overigens terechte 'schandpaal' mag en kan worden geplaatst.

Wat ik het ergste vind is dat ik begin te vermoeden dat die huiszoeking bij het bisdom Mechelen opgezet spel was met als doel de bewijzen onontvankelijk te laten verklaren ... (nvdr: volgens mijn informatie was er niets mis met de operatie Kelk in Mechelen en dat roept twijfels op over de uitspraak van de KI die de huiszoeking onwettig verklaarde)

Het valt mij nog altijd te moeilijk om hierover iets te schrijven; te aangedaan. Misschien te lichtgelovig maar ik vrees dat we niet alles weten . Met veel begrip voor ieders vragen, menselijk ontkennen. Niemand is graag alleen in schuld en boete. Nog even geduld.

Trends Marc Buelens: Bij mijn eerste lidmaatschap van een Belgische wetenschappelijke jury, heb ik mede een prijs toegekend aan een werk dat uitblonk door wetenschappelijke nonsens. (…)Ik nam toen een beslissing: dit nooit meer - psychologen noemen dat one trial learning - en ik kwam tot één grote intellectuele conclusie: als Belgische academici het nog niet eens raken over wetenschappelijke documenten, hoe kunnen we het dan ooit nog eens geraken over zeer waardegeladen elementen zoals activeren van werkloosheid, de rol van innovatie, herverdeling van rijkdom, solidariteit. Het volledig artikel ‘de toegevoegde waarde van België. Een gevalstudie’ in bijlage.

Communautair dossier

"Les finances publiques doivent être saines, le budget doit être équilibré, la dette publique doit être réduite, l'arrogance de l'administration doit être combattue et contrôlée, et l'aide aux pays étrangers doit être diminuée de peur que Rome ne tombe en faillite.
La population doit encore apprendre à travailler au lieu de vivre de l'aide publique. "
Cicéron - 55 AVANT JÉSUS CHRIST - MORALITE : la crise dure depuis 2065 ANS !

Het plan B van de Belgicistische drukkingsgroep B Plus; het volledig artikel in bijlage voor de abonnenten.
De voorzitter van B-Plus kwam in La Libre donderdag 2 september met een 'plan B': de Franstalige partijen moeten dreigen met het einde van België om zo de andere Vlaamse partijen te dwingen afstand te nemen van de N-VA en een 'duurzaam akkoord' te sluiten. De dagen daarna kweelden Moureaux, Onkelinx en Demotte een dergelijk liedje. Deel 2 in de strategie van het VBO om België te behouden en zelfs te versterken? De voorzitter van B-Plus is namelijk een kaderlid bij Umicore, waar de voorzitter van de raad van bestuur Thomas Leysen heet, tevens voorzitter van het VBO.

écrit par herman verheirstraetenLLB online:
Paradoxe: je suis flamingant et j'aime la Belgique. Etre belge signifie donc pour moi être un peu international, c.à.d. avoir l'avantage de vivre dans une communauté, dans un pays pluriculturel. La Belgique est un peu l'union européenne en petit: chacun chez soi et tous ensemble. C'est pour ça que j'aime la Belgique. Je suis flamingant, parce que je considère qu'il faut non seulement rencontrer ses co-citoyens d'autre expression linguistique (c'est pour cela que mes enfants sont bi- et multilingue comme moi), mais également conserver son identité. A Bruxelles ceci est impossible, à cause des politiques francophones qui sont d'une intolérance inouïe. Je pourrais vous raconter des histoires vécues d'humiliation, de dédain digne d'une société à la Milosevitch. La façon dont les francophones bruxellois se comportent envers leurs co-citoyens flamands ne peut être taxée que d'incivisme pur et simple.
Je me méfierai donc toujours de cette soit-disant élite francophone bruxelloise qui traine le drapeau belge. Pour eux la Belgique doit être latine, et ils n'ont donc rien compris.
Je veux être solidaire avec mes frères et soeurs de tout pays et en premier lieu avec la Wallonie, mais jamais je n'accepterai une extension du pouvoir de l'arrogance bruxelloise. Je ne comprends d'ailleurs pas pourquoi les wallons seraient solidaires avec ces farfelus bourgeois qui en fait se fichent de tout le monde.

LLN (10/09): Met MR aan de onderhandelingstafel:
Reste cette question : pourquoi la négociation aboutirait-elle avec les libéraux autour de la table ? On l’a déjà dit : lors de leur fameux déjeuner chez Bruneau (c’était bien le samedi 28 août ; met Bart De Wever nvdr) Didier Reynders et Louis Michel ont précisé qu’ils pouvaient aller beaucoup plus loin dans les transferts et surtout dans la responsabilisation des entités fédérées. Ils proposent une négociation partant d’abord de la délimitation des matières strictement réservées à l’Etat fédéral, les matières résiduelles étant confiées aux Régions et aux Communautés. Sur le plan socio-économique, MR et N-VA se sont aussi découverts des accointances. Et Bruxelles ? Et BHV ? Et la périphérie ? Les libéraux sont persuadés qu’avec des transferts plus importants, une responsabilisation accrue, la N-VA se montrera plus coulante, notamment sur la préservation des droits électoraux dans les 6 communes de la périphérie. Et l’élargissement de Bruxelles ? Le quoi ? L’élargissement ! Vergeet dat

LLN 14/09: Après "Bruneau" en compagnie de la N-VA, les libéraux francophones ont, par deux fois au cours de l’été, déjeuné avec l’ancien ministre et ancien président de parti du SP.A, Johan Vande Lanotte. La première fois, celui-ci était seul, mais il était accompagné d’autres membres du SP.A lors du second rendez-vous. L’un de ces déjeuners avec le président du MR, Didier Reynders, a eu lieu à "L’Ecailler du palais royal", un célèbre restaurant du Sablon, à Bruxelles. Bien entendu, ces contacts entre familles libérale et socialiste avaient comme objectif de faire le point sur les négociations en cours. Sauf à penser que Johan Vande Lanotte n’est plus membre du SP.A, il y a donc bien eu des contacts entre les libéraux francophones et les socialistes flamands. Dus Crombez (SP.A) loog toen hij in de Zevende Dag verklaarde dat er geen contacten waren geweest.
Vervolg: Pieter De Crem : Arrive l’offre du président du MR : faites passer le message que le FDF ne sera pas un gros problème si les libéraux doivent se joindre aux négociations : "Je vous offre (le vote de, NdlR) 15 députés" (…)Pieter De Crem décroche son Blackberry et transmet le message à son président de parti Wouter Beke : "Wouter ! on nous offre le support de 15 députés pour la réforme de l’Etat, ici " Wouter remercie et raccroche. Il faut dire qu’à cette heure-là, l’homme est soumis à rude pression : il participe à l’ultime négociation à 7. Eric Van Rompuy loog wellicht niet, wegens niet op de hoogte, maar toch ontkennen. Bij CD&V zijn ze nog niet vergeten dat Open VLD hen onvoldoende steunden tijdens de onderhandelingen in 2007; een beetje zoals de socialisten en de Groen! nu.

Binnenland

Het ziet ernaar uit dat Wallonië nog rap wat geld uit de NMBS pot wil voor een nieuw station in Mons: 120 miljoen euro kan het nieuwe station in Mons (met volop zonnepanelen) gaan kosten, waarvoor de Spaanse architect Santiago Calatrava een ontwerp maakte. Het is veel geld, toch is het maar 10% van ons investeringsprogramma, zei iemand van de spoorwegen op de wettelijke inspraakavond. Is 10 % van het ganse investeringsbudget voor België niet wat veel voor één station?

DM: Een vaccin tegen baarmoederhalskanker kost in Franstalig België met 315 euro, terwijl dat in Vlaanderen maar 60 euro is. Totale verspilling (of mogelijke besparing zo je wil): bijna 17 miljoen euro. Dag Vlaanderen!

Mop van de week

Dans un procès, qui se déroule dans une petite ville de province, un avocat appelle son premier témoin à la barre, une grand-mère très âgée.
Il s'approche d'elle et lui demande : Mme Jeanne, me connaissez-vous?

Oh! Oui je vous connais M. Langlois.
Je vous connais depuis votre enfance et sincèrement vous me décevez beaucoup.
Vous êtes un grand menteur, vous trompez votre femme, vous manipulez les gens et vous êtes un médisant et un calomniateur.
Au lit, vous pensez être un bon coup alors que tout le monde sait que vous êtes un éjaculateur précoce.
Vous n'êtes qu'une mauviette et vous ne voyez pas plus loin que le bout de votre nez.
Oh! Oui je vous connais.

L'avocat surpris, ne sachant que faire, pointe l'autre avocat du doigt.
Mme Jeanne, connaissez-vous l'avocat de la défense?
Bien sûr que je le connais.
Je connais M. Durand depuis qu'il est tout jeune.
Il est paresseux, obèse et il est alcoolique. Il ne peut pas avoir de relation normale avec quiconque et il est l'un des pires avocats de tout le département.
Il a trompé sa femme avec 3 femmes différentes, et l'une d'entre elles est votre épouse.
Oh! Oui je le connais.

L'avocat de la défense est au bord de l'apoplexie.
Le juge demande aux deux avocats d'approcher et, avec une voix très calme, il leur dit:
Si l'un d'entre vous demande à cette vieille si elle me connaît, je vous envoie tous deux pourrir en prison pour outrage à la Cour.

Tot ziens,
Pjotr